mercredi 26 juillet 2017

Avec le fiston

Avec mon fils nous sommes pareils, enfin presque, car lui il n'a encore ni  cheveux blancs ni  rhumatismes. Non je veux parler du besoin de se faire des kilomètres à moto dès qu'on peut, juste pour le plaisir de rouler.


Nos fantasmes? Un garage hyper bien achalandé en engins à deux roues de toutes sortes, dans lequel on pourrait puiser selon l'humeur, et puis aussi du temps, beaucoup de temps, pour réaliser toutes les idées que l'on peut avoir pendant les soirées.

mardi 18 juillet 2017

A deux c'est mieux

Chez moi l'envie de rouler à moto est incontrôlable. Elle doit se former au plus profond de mon cerveau reptilien, vous savez, celui qui commande les fonctions de base, les instincts, celui qui reste toujours hors du contrôle de la raison. C'est sans doutes pour ça que lorsque l'idée de faire une sortie jailli dans ma tête j'ai tendance à devenir rapidement pénible tant que je ne me retrouve pas derrière un guidon.


Marie le sait bien, et elle supporte avec bienveillance mes perpétuels projets de ballades. Mais ce matin au petit déjeuner, c'est elle qui me dit qu'elle ferait bien un tour avec moi aujourd'hui. C'est le genre de proposition qui ne se refuse pas.

mardi 4 juillet 2017

Les amis

Je me fais quelquefois des "petites crises existentielles". Elles sont déclenchées la plupart du temps par l'arrivée de mauvaises nouvelles. En ce moment, et sans doutes suite à la disparition tragique d'une amie il y a trois semaines ( Bad trip ), j'avai presque des doutes sur mon avenir de motard. Car c'est une évidence, chevaucher ces bombes à roulettes, même si c'est une formidable source de plaisir, ça reste quand même un peu plus dangereux que de tricoter au coin du feu.


Heureusement, ces moments de flottement avec moi ne durent pas très longtemps. Outre le fait que ces réflexions, si on les prolonge trop longtemps, vous plombent le moral aussi surement qu'un reportage d'Envoyé Spécial sur la Syrie, elles ne m'apportent au final aucune solution acceptable. Aussi quand hier mon ami m'a demandé si j'étais partant pour une journée ballade zen dans le parc du Forez, j'ai tout de suite vu l'occasion de m'aérer les neurones en sa compagnie et de me préparer pour les vacances qui arrivent.